“5.
A lovely lady garmented in light
From her own beauty—deep her eyes, as are
Two openings of unfathomable night
Seen through a Temple’s cloven roof—her hair
Dark–the dim brain whirls dizzy with delight.
Picturing her form; her soft smiles shone afar,
And her low voice was heard like love, and drew
All living things towards this wonder new.
5.
Une ravisante demoiselle portant des guirlandes lumineuses
faites de ses propres beautés, ses yeux sans fond, comme le sont
les espaces ouverts d’une clarté sans censure, la nuit obscure,
ce qu’on voit entre les toitures de trèfle d’un Temple, sa chevelure
obscure, le fade cerveau divague en transe d’une moue mielleuse.
Je peins sa forme; sa douce bouche souriante qui va briller loin,
et sa voix tempérée que j’entendais comme l’amour, et je dessine
toutes les formes qui vivent par sa découverte d’étude et de vierge.
…
6.
And first the spotted cameleopard came,
And then the wise and fearless elephant;
Then the sly serpent, in the golden flame
Of his own volumes intervolved;—all gaunt
And sanguine beasts her gentle looks made tame.
They drank before her at her sacred fount;
And every beast of beating heart grew bold,
Such gentleness and power even to behold.
6.
Et d’abord est venue, léopard sali, chameau prolongé, la première,
la girafe, puis l’éléphant, qui n’a pas peur parce qu’il est sage;
ensuite le perfide ophidien, dans la flamme de fougère
de ses propres volumes enveloppée; toutes sauvages
et sanguines espèces, vineuses, domptées par prière
de ses regards davantage gentils dans l’ivresse et le rivage;
et chaque animal, à la source pulsante du coeur,
ajusta au pouvoir de la beauté chacune de ses moeurs.”